[Annonce] Incident diplomatique.

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Depuis plusieurs semaines, des éclaireurs cherchent désespérément la trace des Mayaquens, afin de rétablir avec eux la communication. Ce soir, un groupe d'éclaireur Vartija est tombé sur ce qui semblerait être la grande ville de l'autre peuple.

J'ai alors pris immédiatement la décision, accompagné d'une garde légère, d'aller à la rencontre des Mayaquens afin de rencontrer leurs dirigeants à la coiffe de plumes. Une fois arrivé, nous avons d'abord été surpris par leurs habitations, primitives, en bois et à même des arbres géants. Puis, alors que nous pénétrions dans la ville, un détail nous frappa: l'absence de fortifications et de gardes. Nous continuions de progresser dans la ville Mayaquen, ne croisant toujours personne. Puis cherchant un Mayaquen afin d'établir un dialogue et rencontrer leurs chefs, nous nous dirigeâmes vers une habitation qui semblait éclairée et donc habitée. Une fois arrivé devant la cabane arborigène, je me suis présenté à ce qui semblait être l'entrée: un Mayaquen paru à la fenêtre et avant que je ne puisse dire le moindre mot, décocha de son arc une flèche qui vint se ficher dans mon épaule. Blessé, ma garde me sortit de cette embuscade, et nous nous sommes réfugiés dans un abri non loin du lieu de l'incident. La nuit suivante tombée, ma garde lanca une expédition punitive sur le Mayaquen, menée par le chef de la Garde Kaapro Tektor. Une fois l'assaut accomplis avec succès, nous nous sommes retirés vers notre cité afin de nous remettre de cette rencontre, de panser les blessures et de méditer sur les mesures à prendre suite à cette agression injustifiée.

Ainsi, Haudattu, quelque soit l'attitude que nous allons adopter, nous devons réagir, et un conseil doit être réuni au plus vite afin de décider du futur de nos relations avec les Mayaquens.

Vu le peu de présence général actuel, on peut faire le conseil via le fofo, ou alors IG ce dimanche aux alentours de 16h comme d'habitude.

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Eh merde, je peux absolument pas réparer les pots cassés, y'a même peu de chance que je sois au courant de la chose.

"Agression injustifiée", en plein dans la cité c'est un peu exagéré, cela dit.

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Oh quel monstre que la peur mes amis
elle nous pousse à réagir souvent contre notre gré
C'est qui arriva à ce pauvre Othli lorsque, au loin il apperçu la forme blanche d'un être appartenant à la race des Haudattu.
Seul dans la cité ,avec pour seuls compagnons les chants des oiseau celui-ci pris son arc, et,tout tremblant de frayeur le banda pour diriger sa flèche en direction de ce que la peur lui désignait comme ennemi de son peuple
L'homme blanc s'approcha doucement et Othli ferma les yeux avant de décocher sa flèche sur ce dernier.

Le représailles ne se firent point attendre,
plus tard lorsque le mayaquen revenait de sa ballade ne foret Le Haudattu et ses gardes tendirent une embuscade et lui sautèrent dessus le ruant de coups et le laissant , au sol, gisant , au milieu d'une petite flaque de sang

Admin Messages : 2048

C'est très bien de participer ainsi aux évènements par forum, ceci dit Alexott là tu postes dans le palais du Mestari, donc chez les haudattu. Comme tu n'es pas censé y être, il vaut mieux que tu postes ce message là où ton personnage l'a prononcé ou là où il le raconte, c'est à dire dans la section des mayaquen.

Merci Wink

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Nivan prends la parole , d'abors presque murmurant et augmentant le volume sonore de sa voix au fil des mots

Je pense avoir eut raison à une époque , les Mayaquen son dangereux , ce ne sont que des Être primitifs qui tirent sur tout ce qui bouge .

Après un pause "l'Artiste" joint ses mains presque à type de prière et d'une voix claire continue son court discours

Grand Mestari je vous prie d'envisager une purge ; ou du moins de leur mettre un collier au cou.

Nivan pose sa main délicatement sur sa poitrine et parle de manière entre-coupée et emphatique , à chaque mot un geste de la tête

Je serais outragé de voir nos fiers guerriers encore amochés, rayés et brisés . Pensez à toute cette perfection qui se perds , toute cette beauté que l'on offre à ces bêtes , et regardez comment ces choses prennent en compte les enfants du Cycle. Je ne vois qu'une solution à ce Blasphème , le feu et ensuite leur oubli.

Nivan se rassoit , le visage marqué par une sorte de terreur, probablement l'horreur de la souillure des créations d'Äkräs; le tout dans sa tête.

J'ai été absent un certain temps , mais je reviens. Attendez vous a de l'extremiste , du fou a la louche et des Drames aussi tristes que macabres.

Admin Messages : 2048

Grand Mestari, en effet la réunion d'un conseil semble être nécessaire vu les derniers évènements.

Je ne suis pas pour un règlement "traditionnel" du conflit, c'est-à-dire la loi du plus fort. Je pense que nous gagnerions bien plus à voir ce qu'ils peuvent nous apporter, d'un point de vue purement matériel. Vous n'êtes pas sans savoir que nous manquons cruellement de certains matériaux, que les mayaquen ont éventuellement en leur possession. Je pense notamment au sable, ou encore à la laine, le cuir ou autres ressources issues de l'agriculture de surface.

Essayons d'engager les premiers contacts, peut-être qu'un commerce est possible. Je me propose pour être l'homme qui ira négocier cela auprès de leur Mestari.

S'il s'avère que toute coopération est impossible, pourquoi pas en effet tout raser et voir ce qu'il est possible de récupérer. Mais c'est une option peu viable selon moi, les haudattu n'ayant pas encore la capacité militaire pour une telle opération.

Messages : 89

Le Mestari se lève et d'un signe enjoint l'assemblée de faire silence, avant que la discussion entre les deux protagonistes aux points de vue si différents ne dégénère.

Tout d'abord, Je tiens à te rappeler Satu que l'incident s'est produit justement lors d'une prise de contact pacifique de ma part, et je ne pense pas qu'envoyer un autre Haudattu changera quoi que ce soit à leur réaction.

Ensuite, les armuriers Vartija menés par Kaapro travaillent nuit et jour afin de fournir les armes et armures en vue du futur conflit. Notre forge est alimentée par nos importants stocks de fer renouvelés en permanence grâce aux cavernes environnantes. La grande porte a été lourdement fortifiée à mes frais, rendant notre cité totalement étanche aux assauts extérieurs, et mon Kilta lui aussi aménagé forme une seconde ligne de défense efficace. En ce moment même, les éclaireurs Vartija parcourent les collines entre notre cité et la ville des Mayaquens, afin de trouver des zones propices à y installer des avant-postes. La caserne du mon Kilta est sur le point d'être achevée, pouvant dès à présent former nos nouvelles recrues à l'art du combat rapproché comme à distance. Si la guerre devait être engagée aujourd'hui, soit sûr Satu que nous sommes prêt.

Cependant, nous lancer dans une telle guerre, même si la victoire nous semble acquise, aura toujours un coût non seulement en matières premières, mais surtout en sang et en larmes. Aussi, avant de nous avancer à la rencontre des Mayaquens bardés de nos armures de fer, il nous faut tout d'abord leur laisser une dernière chance en mettant leur réaction primitive sur le compte de leur retard civilisationnel.

En effet, loin d'être aussi extrémiste que Nivan, dont je conçoit la réaction aux vues de cette situation exceptionnelle, je pense comme toi Satu, que les Mayaquens peuvent nous apporter plus par une coopération pacifiste qu'un simple butin récolté sur leurs dépouilles sanglantes. C'est pourquoi cette voie doit être privilégiée.

Cela dit, Jari s'assit pour écouter la suite du débat et les réactions des différents membres du conseil.

Admin Messages : 2048

Si les Vartija sont prêts au combat, tant mieux. Les autres kiltas ne le sont pas, et c'est donc vers une guerre perdue d'avance que vous vous avancez.

Nous avons tout intérêt, pour le moment, à jouer la carte de la diplomatie. Il y a déjà eu des visiteurs mayaquens qui sont venus aux portes de notre cité, portes qui étaient très judicieusement gardées fermées. Mais ils étaient pacifistes et souhaitaient parlementer, ce qui laisse entrevoir des possibilité de dialogue entre nous. Je le répète, il y a certaines ressources en leur possession qui pourraient peut-être nous intéresser.

La première étape est de nouer contact, et de déposer les armes. Il faut pouvoir dialoguer avec leur Mestari, car je pense que lors de cet incident vous n'avez rencontré que des sous-fifres.
La deuxième étape est de convenir des modalités pour engager un commerce entre nos deux peuples : route couverte, bâtiment à l'abri du soleil, entrepôts et étals.

Il est possible que ce soit un travail de longue haleine, mais ça peut être payant. Si jamais tout dialogue semble impossible, pourquoi pas organiser quelques pillages...

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Nivan reprends la parole , d'un ton bien différent cette fois ci

Si tant nous voulons ces ressources , pourquoi ne pas les esclaviser ? comme nous avons pu faire dans le passé avec nos ennemis . Ils sont faibles stupides et ne comprennent pas la stratégie , ils ne pourront opposer résistance , leur travail sera médiocre voir lamentable mais si tant vous voulez ces ressources..

Le chevelu avale de la salive , cligne fort des yeux et reprends

Pour de ce qui est du conflit, Kauneus Varänessa est en ce moment en possessions de chants relativement importants , tous mis a disposition de nos fiers guerriers. Nous sommes d'ailleurs en ce moment entrain de planifier un marché d'aliments en face de nos portes, pour que tout Haudattu n'ai plus a se préoccuper de son alimentation.

Il se rassoit , puis une seconde après se relève , les mains sur la table

Par contre , Il est hors de question qu'une seul de ces choses rentrent dans notre caverne , un outrage si fort a l'harmonie du cycle ne peut rester impuni . Si personne ne les châtié pour leurs monstruosités , Kauneus découpera et mutilera chaque chose qui mettra un pas plus loin que la deuxième porte vers notre belle caverne .

Nivan prends une petite pause , sous les yeux méfiants des autres membres de l'assemblée . Une minute de silence plus tard il reprends

A moins que le prochain Mayachose qui s'approche d'ici soit capturé et que vous permettiez Kauneus de l’interroger , et de ce fait lui soutirer des informations stratégiques.

Nivan regarde de ses yeux brillants chaque Paaliko dans les yeux , et finit par regarder le Mestari. Si ses yeux pouvaient parler ils prieraient un "oui" ou du moins un hochement de tête.