Jean Gaudart arrive à la caserne de Port-Lumière, bien amoché. Une fois à l'intérieur, il entre dans le bureau du capitaine Dreicc sans prendre la peine de frapper
C'est inadmissible ! Et moi qui vous croyait quand vous affirmiez avoir fait disparaitre les bandits de ces terres. Voilà ce qu'il m'en coûte de croire en vos mensonges.
J'ai été attaqué par des hommes armés alors que je traversais le dernier pont en direction de Port_Lumière. Toute ma marchandise m'a été dérobé. Ils étaient plusieurs armés d'épées tranchantes et de robustes armures.
J'ai d'abord tenté de résister, et j'ai pu en blesser quelques un, mais ils étaient trop nombreux, même pour moi. Ah ça le coup était bien préparé, je dois en convenir. Mais vous devez les retrouver, et les faire payer. C'est votre tâche, à ce qu'il paraît. Vous me disiez encore il y a peu, que votre mérite vous revenez entièrement, alors prouvez-le !!! Et peut être serais-je indulgent envers votre incapacité à faire régner l'ordre en ces lieux.