II Religion

Citation :

Les Premiers considérèrent ce qu'avaient fait les Géants, et les Géants firent de même. A tous cela plût, et on connut un temps de paix et d'entente. On décida de travailler ensemble, pour former un être parfait. Il reçut le souffle vital, l'intelligence, les sens et la force, et ce furent l'homme et la femme, êtres nobles et grands. Mais les Premiers comme les Géants clamèrent qu'ils étaient les créateurs de cet être parfait, et que tout le mérite leur revenait. L'entente fut de courte durée, et on se sépara de nouveau.

Entinen Aika

D'emblée il y a une incommensurabilité qui fait qu'il n'est pas besoin de vapeur dans les yeux, d'autant que les Aktani nuisent ensuite considérablement aux humains.

Lieu de Culte, description de l'endroit :


Les Temples D'Äkras ne sont jamais des bâtiments , car ceux ci sont contraires a la fertilité ( une roche ne peut pas être fertile.) . Généralement au tour d'un Exemplaire remarquable de plante ou Arbre. Le Temple se doit de représenter le Cycle de la vie dont Äkräs est tellement fier. Pour cela il n'est pas rare de voir des temple isolées dans un cercle. De plus , pour exemplifier l'harmonie du Cycle vital il est préférable que l'endroit soit loin des activités des mêmes Haudattu , a moins que le groupe soit en accord avec le Cycle et donc qu'ils vénèrent activement Äkräs.

L'exemple typique d'un temple d'Äkräs serait un petit Îlot de verdure au centre d'un lac , avec un unique arbre au centre de celui ci.

Ces Temples sont généralement très proches de ceux d'Athi , Nyyrikki et de Tuuliki. Suite à certaines très dures, il était courant de voir les 4 temples et leurs Autels respectifs collés les un aux autres sur un même îlot , de dimensions légèrement plus grandes et mêlant les caractéristiques des temples des 3 autres divinités.


Pouvoirs que l'on prête a cette Divinité :


Äkräs est celui qui met en place le Cycle, par conséquent le peuple Haudatta lui attribut la croissance des végétaux et le support de la vie tanto en intérieur comme en extérieur.


Importance de ce Culte et Place au sein du Panthéon :


Prier Äkräs et le cycle c'est chercher la prospérité, mais cette pratique est de moins en moins courante vu la difficulté de trouver un endroit propice à son culte. Il est rare de voir des Haudattu le prier durant une migration , or les groupes qui le font on généralement moins de soucis d'alimentation. C'est surtout durant les périodes de stabilité que l'on voit des Haudattu chercher la bénédiction d'Äkräs , pour obtenir prospérité sur la terre qui va leur appartenir jusqu’à la prochaine migration.


Bien qu'une Divinité mineure vu l'importance des autres divinités , surtout en période de conflits, Äkräs reste un piller pour la survie de la société Haudattu ,tout comme les autres divinités liées a la nature.


Actions que doit le Bon Haudatta effectuer ou suivre pour Honorer Äkräs :


Äkräs n'est pas un dieu qui demande beaucoup de faveurs ou donne de missions a ses fidèles , mais il donne quelques consignes a suivre pour être en Harmonie avec le Cycle, qui devient en quelque sorte une entitée a part entière ( comme le fils protégé d'Äkräs .) :


- Respect : Äkräs demande le respect du Cycle et quiconque osera détruire ou endommager le Cycle sera Maudit par la faim et la maladie , du moins jusqu’à réparation de son crime.

- Protection : Tout Haudatta se doit de réparer le déséquilibre ou les blessures causé par n'importe quel être vivant , et ainsi réinstaurer le cycle.


- La beauté : Äkräs demande a tout être vivant d'aimer la création du vivant , et d'aimer le Cycle. C'est le meilleur moyen de le vénérer , de chérir son petit protégé.



Cadeaux et bénédictions

Il est possible d'obtenir des cadeaux d'Äkräs , mais généralement ils se manifestent de manière passive : des meilleur récoltes et des formations florales peu courantes, Mais guère de plus, Cette divinité considère qu'elle a déjà fait le plus beau cadeau aux Haudattu en leur laissant oeuvrer au sein du Cycle sans son stricte contrôle.


La bénédiction d'Äkras c'est la beauté , et tout les êtres qui suivent ses conseils sont doté de cette beauté.

Vous connaissez la BD de Crisse l'Epée de Crystal ?
(Nice, même si la beauté vient ajouter vite fait une détermination à mon avis inutile, et sujette à des interprétations divergentes/délirantes mal venues dans la base de jeu que constitue le BG.)

Par beauté j'entends le sens ancien du mot : Bien réalisé qui suit les normes pour que l'objet soit réussit.


ex : un Bel arbre , un arbre qui suit les caractéristiques propres a son espèce, et qui en font un specimen représentatif de l'espèce en question.

Ce type de beauté la, qui est pas sujette à l'interprétation.

"J'entends..." Donc bien une interprétation, donc il aurait fallu le préciser.
Y'a pas un unique sens ancien, ça veut rien dire.
Mais ok sinon, ça colle bien avec l'idée de cycle. Le terme de beauté reste plutôt inadapté. #Aristote

J'aime ta fiche sur Akräs, Arhkam.

Allez, encore un effort pour faire un vrai panthéon haudatta.

Et pour les mayaquen, faudra s'y mettre aussi

Je peux faire les autres dieux mineurs, ils sont un peu lié vu leur champs d'action. Et Antero Vipunen je veux le faire aussi mais un peux plus tard , que je fasse mon rp avant ^^'

Quoi, on parle plus d'équivalence entre Haudattu et Mayaquen du coup ?

Partageons-nous les tâches, on a actuellement les fiches de Tuoni, Akräs et Tursas.

Je veux bien faire :
- Rauni, la femme de Ukko, protectrice de la terre et la roche
- Rahko: dieu du temps
- Perkele: le Diable
- Kotitonttu: dieu protecteur du foyer
- Nyyrikki: dieu de la chasse

Et tu fais :
- Ukko Ylijumala: le plus important
- Vedenemo: déesse de l'eau
- Ahti: dieu de la pêche
- Antero Vipunen: géant associé à la magie
- Tuulikki: déesse des animaux

Okay ?

La femme ? Si on pouvait juste répondre aux interrogation sur QUI SONT CES DIVINITES ce serait pas mal en fait.

Je pense que ces dieux sont uniques pour chaque race, ils ne sont pas équivalents donc.

Il faut donc expliquer leur existence, peut-être que les Aktani qui ont voulu se "séparer" des hommes (auxquels ils se sentent redevables) leur ont assigné des dieux protecteurs.

Thor96 a écrit:

Partageons-nous les tâches, on a actuellement les fiches de Tuoni, Akräs et Tursas.

Je veux bien faire :
- Rauni, la femme de Ukko, protectrice de la terre et la roche
- Rahko: dieu du temps
- Perkele: le Diable
- Kotitonttu: dieu protecteur du foyer
- Nyyrikki: dieu de la chasse

Et tu fais :
- Ukko Ylijumala: le plus important
- Vedenemo: déesse de l'eau
- Ahti: dieu de la pêche
- Antero Vipunen: géant associé à la magie
- Tuulikki: déesse des animaux

Okay ?

On en est où ?

J'ai déjà fait la fiche de Perkele et je suis en train de faire celle de Rauni. Mais je posterais tout en même temps.

Si vous avez pas encore fait Antero Vipunen ça m’intéresserait de la faire

Thor96 a écrit:

Partageons-nous les tâches, on a actuellement les fiches de Tuoni, Akräs et Tursas.

Je veux bien faire :
- Rauni, la femme de Ukko, protectrice de la terre et la roche
- Rahko: dieu du temps
- Perkele: le Diable
- Kotitonttu: dieu protecteur du foyer
- Nyyrikki: dieu de la chasse

Et tu fais :
- Ukko Ylijumala: le plus important
- Vedenemo: déesse de l'eau
- Ahti: dieu de la pêche
- Antero Vipunen: géant associé à la magie
- Tuulikki: déesse des animaux

Okay ?

En fait le "tu fais" c'est toi Arhkam

ah ... peut être, j'ai du complètement zapper x)

Tiens je pense que je vais faire quelques fiches Mayaquen avec les vacances.

J'ai fini les Mayaquen, je posterai ça ce soir.
Vais ptet m'attaquer aux Haudattu du coup.

Super

Faudra que je mette tout sur le site ensuite

Religion et panthéon Mayaquen.

Préambule :
Les Esprits sont messagers des Aktani auprès des Irowae. Tout entiers occupés par la bataille contre les Fléaux et face à la scission progressive en deux races, ceux-ci ont créé des êtres intermédiaires voués à l'ambassade auprès des Mayaquen et des Haudattu et qui ont reçu un fragment de leur puissance en partage. Ces entités diffèrent donc d'une race à l'autre puisque cette distinction a présidé à leur création par les Aktani, qui désiraient la meilleure ambassade possible. Les rites qui leur sont rendus visent à maintenir l'alliance entre Irowae et Aktani et émanent en un sens de ces derniers, si ce n'est que certains proviennent pleinement des deux sociétés humaines et des différents processus internes qui y ont cours, et qu'il existe en outre des variations d'une cité à l'autre.

Clergé :
Puisque les fonctions cléricales sont assurées par toute une partie de la caste Chipahuac, le personnel est abondant à tous les niveaux. Il se divise entre les Grands prêtres, à la tête de ce qu'on pourrait qualifier d'ordres religieux dévoués à un aspect précis de la vie religieuse et du service des Aktani, et qui forment le Conseil de la cité, les Prêtres, qui sont en charge des cérémonies, offices et rites courants, et le personnel serviteur, voué aux tâches matérielles nécessaires au bon fonctionnement des temples, souvent constitué de novices en formation, et aidé des castes inférieures.

Panthéon :

(Esprit = masculin en français, mais on peut douter du caractère sexué des Esprits. Querelle sur le sexe des anges ?)

Nyztli :

Esprit de l'eau et de la croissance.
On le célèbre là où l'eau se trouve, particulièrement où elle court en un vif torrent mais aussi bien près d'un plan d'eau. Une fontaine ou le jaillissement d'une source sont ainsi des lieux de culte par excellence.
Il symbolise le fluide vital et la tendance de toute chose à croître et à s'affirmer.
Ainsi on le célèbre ponctuellement pour favoriser les entreprises quelles qu'elles soient, et il fait partie du quintet du renouveau : avec Tlataca, Huitzi, Syltha et Chimalma, ils assurent le renouvellement et on les invoque dès qu'un cycle prend un nouveau départ. Ils sont donc particulièrement célébrés au moment des migrations.
Dans les rites courants, outre la prière, on rend hommage à Nyztli par le jet d'offrandes, dans un cours d'eau si l'on demande force et vitalité ou une faveur mineure, ou dans un plan d'eau si l'on souhaite sa protection ou s'il s'agit d'offrandes plus importantes -pas d'hécatombe dans un ruisseau. Hors cas exceptionnels tels une expédition guerrière, les offrandes se font en des lieux sacrés par les prêtres.


Tlataca :

Esprit de la terre et de la guérison.
Ses autels prennent généralement la forme de cairns et de monticules accompagnés de statues.
On le considère comme divinité des fondements et il a une place particulière chez les bâtisseurs qui considèrent qu'il soumet à son bon vouloir la solidité d'une construction et qui le prient en conséquence. Il est ainsi associé à Syltha dont il constitue l'assise et à qui il permet d'enfoncer profondément les racines de ses arbres dans le sol. Ils y puisent leurs ressources et on prête donc à Tlataca un pouvoir de guérison, qui accompagne la santé que détient Syltha. Les Mayaquen considèrent donc la guérison comme le retour à un état du bien qui précédait la survenue de la maladie ou de la blessure, un retour à la terre et à l'humilité après un élan interrompu ou bien une faiblesse -excès ou manque qui se résout en revenant à l'équilibre primordial, assise nécessaire au bon développement. Ainsi le malade peut être partiellement enterré -dans un terrain choisi, par exemple argileux pour certaines affections- ou bien bénéficier de catafalques et autres pansements recouvrant la blessure, et doit généralement suivre un régime modéré. Enfin, il est aussi associé à Chimalma, Esprit de la fertilité, de la vie mais aussi de la mort, car, comme pour Syltha, il accueille les plantes qui fournissent les récoltes et accueille en outre les défunts, qui reviennent dans un premier temps à l'état originel.
Tlataca c'est ainsi le fondement d'où tout s'élance et où tout revient.
Il est parfois associé à Itza, Esprit du foyer, lorsqu'il symbolise la terre propre qui accueille la cité et l'habitation, et on emporte parfois un peu de cette terre avec soi en expédition ou en migration.
Outre la prière, on lui rend notamment hommage en enterrant des offrandes ou par des libations.


Itza :

Esprit des flammes et du foyer.
On lui voue des autels qui renferment une flamme, plus ou moins dévoilée, généralement à l'écart de la cité, dans un espace pauvre en végétation.
Cet esprit est voué à l'ambiguïté et il est le seul qui subisse parfois le rejet des Mayaquen. En effet, il peut être source de la lumière salvatrice lorsqu'il est associé à Huitzi et plus encore de la chaleur, et permet de cuire les aliments ou de purifier diverses choses. Mais il peut en outre se montrer destructeur et demande d'être parfaitement maîtrisé pour entraver sa faim dévorante. Pour autant, il assure la protection du foyer, comme symbole de ce qui accueille une force -les membres d'une famille au sens étendu- qui doit être maîtrisée sous peine de disparition du foyer, et qui, lorsque c'est le cas, procure des bienfaits sans prix.
Il est dit inspirer la vigueur aux combattants, qui peut se montrer bénéfique à la cité mais aussi destructrice et incontrôlable, et sert à la purification, parfois préalable au renouveau. Quelle meilleur terre, en effet, pour accueillir de nouveaux plants, que les cendres ?
Les offrandes qui lui sont faites sont le plus souvent incinérées dans les lieux sacrés prévus pour cela.


Huitzi :

Esprit du soleil et de la lumière.
Il est avant tout le protecteur contre les dangers de l'obscurité et domine le monde des Irowae de sorte qu'il peut se faire écrasant, ce qui fait qu'il apparaît parfois comme néfaste. Il est le symbole de l'évidence et du masque, pour ce qu'il apporte sa lumière mais fait ainsi naître les ombres, et se présente aussi sous les espèces de la Lune, plus pâle, semblable et pourtant autre. On lui attribue donc les apparences comme les ombres et les reflets. Il a en outre une dimension fondamentalement nourricière, à l'origine de toutes ces choses et de notre capacité à voir et favorisant aussi la croissance, associé à Nyztli et Chimalma.
On lui dédie les cadrans solaires parfois monumentaux et la plupart de ses lieux de culte adoptent cette forme : un espace dégagé, semblable à une vaste place, parsemée de sculptures accompagnées de leur ombre changeante, et, à une extrémité, un petit bâtiment clos où filtre un mince trait de lumière.
Les offrandes sont généralement abandonnées en plein soleil, vouées au desséchement : Huitzi absorbe ainsi leur substance. S'il s'agit de nourriture, les fidèles doivent chasser les parasites -voire les bêtes sauvages- attirés jusqu'à dessèchement complet, à l'aide de feuilles de palmes par exemple, montrant ainsi leur dévotion et leur attachement. C'est pourquoi ces offrandes sont considérées comme plus importantes que les autres.

Zolta :

Esprit de la glace et de la préservation.
Cet Esprit est peu présent chez les Mayaquen, ce qui se comprend aisément puisqu'ils ont tendance à se tenir à l'écart des zones climatiques froides. La glace est connue pour ses propriétés de conservation et cela même doit être pris en compte lorsqu'on veut concevoir la place de Zolta : il est en opposition avec les Esprits de la croissance et du mouvement, qui occupent la plus grande part du culte. Il vient saisir et figer toute chose, et semble voué à se perpétuer. Ainsi il ne desserre son emprise qu'avec l'intervention des autres Esprits, tels Itza ou Huitzi. On distingue la glace qui saisit, qui se forme, celle qui conserve immobile et celle qui fond, autant d'états du mouvement qui sont autant de manifestations de Zolta, ce qui montre qu'il ne saurait être simplement associé au temps suspendu. Il n'est pas Esprit de la cessation mais de l'interruption que suit une reprise.
La plupart du temps, on se contente de le prier, faute de pouvoir se rendre dans les neiges et les glaces. Lorsque c'est possible, on lui voue une caverne prise par le gel.


Syltha :

Esprit des plantes et de la santé.
Il s'agit de l'Esprit le plus important chez les Mayaquen car il leur fournit leurs habitations, la plupart de leurs ressources et leur médication. Il fait la synthèse des autres Esprits du Quintet du renouveau, Nyztli, Tlataca, Huitzi et Chimalma, qui participent tous à la croissance des plantes.
La plante croît dès lors que ses besoins sont satisfaits, et cela correspond à la santé : le bon exercice du corps et de ses facultés accordé à un équilibre charnel et spirituel. Les Mayaquen ne condamnent pas pour autant les excès de façon systématique, dans la mesure où ils sont l'expression d'une force du corps, d'un besoin ou de quelque chose qui dépasse l'homme, mais qui doivent céder la place, le moment venu, à la santé retrouvée de l'individu ou bien mener à un nouvel équilibre : ainsi à chaque individu correspond un certain équilibre, une certaine santé. Cela peut s'étendre aux groupes d'humains : un Calpulli, une caste, une cité tout entière.
On le célèbre fréquemment, parfois pour des raisons qui ne sont pas directement rattachées à ses attributions, comme patron des Mayaquen, et particulièrement chez les bûcherons qui le remercient de ses bienfaits. Ses lieux sacrés prennent des formes diverses. Idéalement, ils sont placés dans des arbres remarquables, parfois dans des clairières. Les offrandes sont souvent enterrées sous des racines ou bien suspendues à des branches, notamment d'arbres sacrés par les prêtres mais pas exclusivement.


Chimalma :

Esprit de la fertilité et patron de la vie et de la mort, guide de la renaissance.
Il a une grande importance et régit l'apparition et la disparition de toute chose. Chaque être, animé ou inanimé, prend part à un cycle désordonné et, le temps de sa disparition venu, réapparait sous une autre forme. Certains s'effacent pourtant à jamais et d'autres apparaissent, qui n'avaient jamais été. Le temps de la réapparition peut être plus ou moins long selon le chemin que prend l'être, d'abord accueilli, puis accompagné et guidé par Chimalma. On l'invoque bien sûr au moment des naissances et des décès, mais aussi des semailles, et avant les combats. Son temple principal est placé au pied ou sur le flanc de la montagne sacrée qui accueille les défunts et sert d'accès à celle-ci, symbolisant le passage.


Je mets ça là pour que vous puissiez le lire, mais Tellus, ne l'ajoute pas encore au site, il reste quelques petites modif' à faire. Et bien sur, si vous avez des remarques, hop.

Je t'aime.

On va créer le fan club d'Atog.

Vous allez arrêter de draguer mon copain immédiatement. Non mais.

T'as rien à craindre de moi, j'aime pas les shorts.